« Le récit des Petites fées de New York démarre avec Morag et Heather, deux petites fées hautes de cinquante centimètres, portant épée, kilt vert et cheveux mal teints, qui volettent par la fenêtre du pire violoniste de New York, un type antisocial et obèse nommé Dinnie, et vomissent sur sa moquette. Qui sont-elles et comment sont-elles arrivées à New York, et en quoi tout cela concerne-t-il l'adorable Kerry, qui vit dans l'immeuble d'en face, est atteinte de la maladie de Crohn et confectionne un alphabet, et en quoi tout cela concerne-t-il les autres fées (de toutes nationalités) de New York, sans oublier les pauvres fées opprimés de Grande-Bretagne, voilà le sujet du livre. Il contient une guerre, ainsi qu'une mise en scène fort inhabituelle du Songe d'une Nuit d'Été de Shakespeare, et des solos de guitare de Johnny Thunders des New York Dolls. Que peut-on demander de plus à un livre ? »
Heather et Morag, sont deux fées écossaises qui débarquent à New York de manière fracassante. Elles arrivent bourrées et dégueulent dans l'appart d'un violoniste peu doué.
Chacune va s'attacher à un être humain afin de l'aider à progresser et réussir leurs projets.
Heather va s'occuper de Dinnie afin qu'il devienne un bon violoniste. Quand à Morag, elle va s'enticher de Kerry, atteinte de la maladie de Crohn à gagner le concours artistique de son quartier.
Chaque personnage est attachant car il est unique. Outre les fées Heather et Morag, il y a cinq autres fées qui ont débarquées d'Europe. On rencontre aussi des fées de New York : italiennes, chinoises ...
On passe un bon moment avec ce livre de Martin Millar même si j'ai préférer son roman Kalix, la loup-garou solitaire.
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