Les yeux jaunes des crocodiles, La valse lente des tortues et Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi de Katherine Pancol
Quatrième de couverture Les yeux jaunes des crocodiles
Ce
roman se passe à Paris.
Et
pourtant on y croise des crocodiles.
Ce
roman parle des hommes.
Et
des femmes. Celles que nous sommes,
celles
que nous voudrions être,
celles
que nous ne serons jamais,
celles
que nous deviendrons peut-être.
Ce
roman est l'histoire d'un mensonge.
Mais
aussi une histoire d'amours,
d'amitiés,
de trahisons, d'argent, de rêves.
Ce
roman est plein de rires et de larmes.
Ce
roman, c'est la vie.
Ce livre est une bourrasque de vie ...
Un
baiser brûlant du seul
qu'on
ne doit pas embrasser.
Deux
bras qui enlacent ou qui tuent.
Un
homme inquiétant, mais si charmant;
Une
femme qui tremble et espère
ardemment
...
Un
homme qui ment si savamment.
Une
femme qui croit mener la danse,
mais
passe son tour.
Des
adolescents plus avertis que les grands ...
Un
homme qui joue les revenants.
Un
père, là-haut dans les étoiles,
qui
murmure à l'oreille de sa fille ...
Un
chien si laid qu'on s'écarte
sur
son passage.
Des
personnages qui avancent
obstinément,
comme de petites tortues
entêtées
qui apprendraient à danser
lentement,
lentement, dans un monde
trop
rapide, trop violent ...
Souvent
la vie s'amuse.
Elle
nous offre un diamant,
caché
sous un ticket de métro ou le tombé
d'un
rideau. Embusqué dans un mot,
un
regard, un sourire un peu nigaud.
Il
faut faire attention aux détails.
Ils
sèment notre vie de petits cailloux
et
nous guident.
Les
gens brutaux, les gens pressés
ignorent
les détails.
Ils
veulent du lourd, du clinquant,
ils
ne veulent pas perdre une minute
à
se baisser pour un sou, une paille,
la
main d'un homme tremblant.
Mais
si on se penche, si on arrête le temps,
on
découvre des diamants
dans
une main tendue ...
Et
la vie n'est plus jamais triste.
Ni
le samedi, ni le dimanche, ni le lundi ...
Katherine
Pancol dans cette trilogie écrit simplement la vie, peut-être celle
que l'on pourrait avoir. Elle dépeint ces événements avec beaucoup
de vie et de couleurs.
Les
personnages sont uniques et ne collent pas toujours avec les
apparences.
Les
femmes et filles :
-
Joséphine, une jeune femme plutôt effacée et de beauté simple.
Elle paraît un peu nunuche au début mais elle se révèle forte
petit à petit et s'affirme. Manipulée par son entourage, elle finit
par s'en détacher.
-
Iris, une artiste qui ne se réalise pas et une très belle jeune
femme. Iris a des sous et donc un certain pouvoir. Elle manipule les
gens afin que ce soit elle qui récolte toute la gloire.
-
Shirley, la meilleure amie de Joséphine. C'est une jeune femme
énigmatique qui se dévoilera peu à peu.
-
Henriette, la mère de Joséphine et d'Iris surnommé le Cure-dents.
Vieille femme ayant jamais bosser et comptant sur les revenus de ces
maris. Elle a toujours privilégié Iris à Joséphine.
-
Hortense, la fille aînée de Joséphine. Elle est ambitieuse,
aime l'argent et mets les sentiments de coté.
-
Zoé, la seconde fille de Joséphine. Elle est aussi tendre que sa
mère et sensible.
-
Josiane, la maîtresse de Marcel. Une jeune femme généreuse,
manipulatrice au début puis de plus en plus honnête.
et
bien d'autres ...
Les
hommes et garçons :
-
Antoine, le mari de Joséphine. Il a trop d'ambitions mais il ne sait
pas gérer ses émotions.
-
Philippe, le mari d'Isis. C'est le type du bosseur acharné et qui
évolue pour devenir un bon père pour son fils.
-
Marcel, le mari d'Henriette et l'amant de Josiane. Il est généreux,
ouvert aux autres. Il a élevé Joséphine et Iris.
-
Gary, le fils de Shirley. L'adolescent révèle une belle pépite de
sensibilité en grandissant et un bon musicien.
et
bien d'autres ...
Cette
trilogie est à lire et à relire avec plaisir. D'autant que le
premier tome a été adapté au cinéma.
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