La Moïra - Tome 2 : La guerre des loups d'Henri Loevenbruck
Les loups, bientôt, seront réunis. Derrière Imala, la louve blanche, la
meute grandit, et bientôt elle sortira de l’ombre pour aller au combat.
Les clans, unis, mèneront à la victoire celle qui parle leur langue :
Aléa, la Fille de la Terre ! Non, Aléa n’est plus une enfant. Après
avoir enfin accepté le pouvoir étrange dont elle a hérité, elle se
décide maintenant à aller elle-même au devant de son destin. Accompagnée
de ses nouveaux amis, protégée par les loups, elle va partir à la
recherche de son passé et au devant de son avenir !
Mais ceux qui la
recherchent ne sont jamais très loin. Fanatiques religieux, politiciens
arrivistes, sorciers fous, ils sont prêts à tout pour retrouver la Fille
de la Terre. Ainsi commencera la guerre.
Aléa s'enfuit de Saî-Mina et a déjà traversé une bonne partie de Gaelia. Imala a pris sa vengeance sur son ancienne meute en battant la dominante en combat singulier et décide de partir à la rencontre des verticaux. Finghin est devenu grand-druide et a fait d'Erwan son magistel.
Aléa a mûrit et accepté qu'elle était le Samildanach. Au départ, elle n'aime pas se définir comme tel mais elle finit par l'accepter. Tout le monde la poursuit (ce qui ne la dérange pas), mais elle poursuit sa quête. Elle se lie d'amitié avec Imala, la louve qui fait une partie du chemin avec elle. Elle se rapproche aussi d'Erwan et fait évoluer leur relation.
Gaelia est en proie à la guerre. Mais chaque partie cherche à se venger d'une autre. Les Thuathanns veulent se venger du peuple de Gaelia. Samael, le traitre des druides, qui a changé d'identité pour Nathalien, évèque ; il cherche à se venger du conseil des druides qui ne lui a pas laissé de pouvoir politique. Amine, la femme du haut-roi de Gaelia Eoghan Mor de Galatie veut aussi se venger des druides qui n'acceptent pas les femmes et n'ont voulu qu'elle soit archidruide. Les conflits continuent de déchirer Gaelia surtout celui avec les Tuathanns mais l'issue est loin d'arriver.
L'univers d'Henri Loevenbruck est toujours aussi merveilleux et l'on suit sans peine les aventures de ces héros. Aléa et Imala se croisent et s’éloignent au fil des pages mais elles vont toujours dans la même direction. Malgré tout, je ne ressens toujours pas les émotions des personnages.
Ce roman a été regroupé dans un intégrale de la trilogie de la Moïra dont voici les deux couvertures qui existant ainsi que la quatrième de couverture.
L'enfant s'appelle Aléa ...
Jeune orpheline de treize ans, elle a hérité involontairement d'un don étrange et se retrouve alors au centre
d'intrigues qui la dépassent. sur l'île de Gaelia, nombreux sont les
politiciens et les religieux qui convoitent cette puissance ; nombreux
sont ceux qui redoutent cette élue aux facultés uniques, qui pourrait
changer la face du monde ...
Alors qu'au sud, une armée est en marche pour reconquérir l'île volée à ses ancêtres, la jeune Aléa a désormais de nombreux ennemis : les Soldats de la Flamme, des fanatiques religieux
qui voient en elle un nouveau danger, le Conseil des druides, qui lui
envient son pouvoir, ou encore les terribles guerriers de Maolmòrdha ...
Prise au cœur
d'un conflit colossal, Aléa fuit la mort qui la traque sans pitié. La
meute de ses poursuivants grandit de jour en jour. Le moment est proche
où elle devra faire volte-face pour affronter son destin.
Dans
l'ombre, tel le reflet d'un miroir, Imala, une louve solitaire, vit une
aventure étrangement parallèle à celle de la jeune fille. Leur
existences sont-elles liées ? Leurs avenirs respectifs sont encore
flous, mais une destinée unique attend la louve et l'enfant.
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