Le chant des sorcières Tome 2 de Mireille Calmel
Jour après jour, nuit après nuit, la prophétie s'accomplit. Si Mélusine a pu tromper la jeune et pure Algonde, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Chambrière à la cour, auprès de Philippine de Sassenage, l'ancienne paysanne ne s'en laisse plus conter. Elle a l'oreille de sa maîtresse et fait grande impression devant les courtisans. Certes, l'ignoble Marthe persiste à comploter à sa perte et ses yeux sont partout : Algonde n'en a cure qui puise, au plus profond de son ventre, le courage et la certitude de vaincre. Son enfant – c'est écrit – aura raison des forces maléfiques qui convoitent les Hautes Terres. Ainsi les fées en ont-elles décidé. Privée de Mathieu, son malheureux amour, Algonde souffre, pourtant. Il lui faudra plus d'habileté, plus de magie que jamais, pour triompher des ombres et étouffer le chant des sorcières…
Algonde vit maintenant à la Bâtie ayant suivi sa maîtresse Philippine surnommée Hélène. Elle est enceinte d'un œuf qui lui permettra de guérir des effets du poison de la vouivre mais aussi son futur enfant. Djem est logé à la forteresse de Rochechinard, non loin de la Bâtie. Philippine est toujours poursuivie des assiduités de Philibert de Montoison.
Algonde reste fort malgré le fait d'avoir perdu Mathieu car elle sait au fond d'elle qu'elle le retrouvera un jour. Des destinées se croisent comme celle de Philippine et de Djem ou celle d'Enguerrand de Sassenage et de Mounia, l'ancienne épouse de Djem. La prophétie du tome un continue de tisser sa toile.
Bous retrouvons ici les péripéties de l'histoire de la famille Sassenage. L'histoire d'amour de Philippine de Sassenage et le prince Djem est un fat historique. Mireille Calmel continue cette fabuleuse légende de la fée Mélusine.
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