Madouc de Jack Vance
Les Isles Anciennes. Une contrée magique et dangereuse, où sagesse et vertu devaient sans cesse en découdre face à la sorcellerie malfaisante des immortelles forces des ténèbres.
La paix précaire qui s'y était établie menaçait de prendre fin, sous le poids toujours croissant des rivalités opposant l'infâme roi Casimir et Aillas, souverain du Troicinet.
Et dans ces bruits de guerre et de souffrance, Madouc, la jeune et malicieuse princesse qu'on avait passer pour la fille de Suldrun, détenait à son insu le secret de l'ultime victoire ...
Le début du livre nous rappelle les conditions politiques et géographiques des Isles Anciennes et ce que les magiciens ont le droit de faire dans les conflits qui opposent les humains. Il énonce aussi les magiciens restants en restituant leurs parcours.
Nous retrouvons aussi Aillas qui a pris définitivement sa revanche sur les Skas en conquérant la forteresse de Poëlitetz ce qui signifie l'invulnérable. Celle-ci se situe sur le territoire du Dahaut, dirigé par le roi Aubry qui la réclame à Aillas de Troicinet mais celui-ci ne tient pas à la redonner de suite.
Ce troisième et dernier volume raconte l'histoire de Madouc, la présumé fille de Suldrun. Elle est en fait un changelin et as pris la place de Dhrum qui lui as été élevé par les fées. Madouc est extrêmement intéressante car très intelligente et déterminée. Quand Casimir compte se servir d'elle pour nouer des alliances par mariage, elle se rebelle et décide de partir à la recherche de ces parents coute que coute.
Quand à l’infâme Casimir, pendant ce temps, complote pour faire assassiner Aillas et son fils Dhrum afin que la prophétie ne se réalise pas. Le fils de Suldrun ne raillera pas les Isles Anciennes et il n'y aura pas de paix si cela se fait.
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